Lectures
Votre fumée montera jusqu’au ciel par Joseph Bialot
Encore un témoignage sur la Shoah … Un de plus ou plus exactement un de moins puisque Bialot nous a quittés en novembre dernier.
A la vie, à la mort ! par Yoram Kaniuk
On ne peut avoir de prime abord que du respect pour l’âge du narrateur, sa trajectoire existentielle et cette confession sans fard qui nous énonce que nul n’échappe au vieillissement.
Le Juifs dans le lotus par Rodger Kamenetz
Pour Leo Baeck le bouddhisme se trouverait aux antipodes absolues du judaïsme. Celui-ci préconiserait l’action éthique, alors que celui-là se caractériserait par « le retrait par rapport à l’homme et l’univers
L’enfant terrible de la littérature- Autobiographies d’enfants cachés par Adolphe Nysenholc
Tout est déjà contenu dans le titre. Les deux premières lignes imprimées en caractère gras attirent le regard et conduisent la réflexion sur l’expression « enfant terrible de la littérature » que l’on attribuerait à une personnalité littéraire, trublion bousculant ses aînés, les conventions sociales ou textuelles et multipliant, tant que la jeunesse le lui autorise, les déclarations fracassantes, non dénuées d’autosatisfaction.
A l’ombre du tamaris par Pauline Bebe
" À l’ombre du tamaris, on se pose et on se repose d’un voyage sous le soleil du désert, on goûte à la fraîcheur de l’ombre, on arrête la course effrénée du temps, pour respirer, écouter. " C’est par cette phrase que le rabbin Pauline Bebe " ouvre " son livre
La Guerre de Bom Fim par Moacyr Scliar
On vous dit Brésil et…vous pensez au Carnaval, au brassage ethnique, au coup de pied légendaire de Pelé ou encore aux amours charnelles de la belle Teresa Batista et d’Emiliano, immortalisées par Jorge Amado.
Le Minimum humain par David Meyer & J.M. de Bourqueney
Je viens de refermer le livre et je suis perplexe. Je n’aurais jamais pensé, lorsque j’en ai entamé la lecture, que les problèmes qu’il soulevait étaient pratiquement sans solution.
Les Oubliés du Shtetl par Y.L. Peretz
Yitskhok Laybush Peretz (1852-1915) dont nous avons déjà commenté les "Mémoires inachevés" (voir Shofar du mois de juin), et dont nous avons publié un conte (Shofar de septembre), a également fait oeuvre de sociologue et d'ethnologue.
L'Hébreu israélien par Eliyahou Reichert
Quel hébraïsant à Bruxelles ne connaît Eliyahou Reichert, professeur d'hébreu à l'Institut d'Etudes du Judaïsme à l'ULB ? Qui ne connaît sa salle de cours sous le toit de "Martin Buber" ?
Mémoires inachevés par Yitzkhok Laybush Peretz
Dans mon ignorance, j'ai longtemps cru que la littérature yiddish était surtout représentée par les frères Israël et Isaac Singer. Il est vrai que ce sont sans doute eux dont l'oeuvre est la plus accessible